Parlons cœur à cœur! Je souhaitais vous partager une fausse croyance, très développée parmi les entrepreneurs « il faut travailler (très!) dur pour réussir ».
Nombre d’entre nous avons été éduqués avec ce précepte, moi la première ! Naturellement il est plus difficile de s’en débarrasser…
Je ne sais pas si vous avez cette croyance, si vous en avez conscience ou si elle est simplement tellement ancrée en vous que vous ne la voyez plus!
Personnellement, j’ai toujours cru qu’il fallait travailler trèèès dur pour réussir. Prendre un jour off (en semaine) pour moi était particulièrement compliqué.
Dans ces moments-là, non seulement, je ne déconnectais pas, mais surtout je culpabilisais de ne pas travailler … pendant que l’ensemble de la planète bossait dur.
Voilà, voilà… Rassurez-moi je ne suis pas la seule à avoir vécu cela, si?
Vous l’avez compris. C’était très difficile pour moi de ralentir et cela reste un challenge parfois.
Mais depuis j’ai fait un constat : à chaque fois que je j’arrête, il y a plein d’autres choses qui se passent de qualité pour mon entreprise et pour moi . De l’invisible ET du visible.
Voilà comment j’en suis arrivée à ne (presque) plus travailler le vendredi!
Je vous en dis plus en vidéo 👇👇
Comment j’ai frôlé l’épuisement professionnel
Comme je partageais dans une précédente vidéo récemment, j’ai frôlé l’épuisement professionnel. J’avais simplement beaucoup de mal à m’arrêter.
Depuis j’ai décidé de mettre en place des garde-fous pour mon entreprise et mon énergie! Je constate aujourd’hui (le cerveau ne croit que ce qu’il voit) les bénéfices que cela apporte pour mon équipe, mais également pour la croissance de mon entreprise et mon équilibre. C’est totalement contre-intuitif.
Je souhaite, au travers de ma propre expérience, vous donner cette autorisation à votre tour!
– S’autoriser à lâcher sur le « 9 heures – 18 heures »,
– Arrêter de travailler les soirs une fois les enfants couchés,
– Ne pas oser prendre des jours off…ou pire de WE!
Qu’ai-je mis en place ?
Je ne travaille plus le vendredi sauf exception. Rien que de le dire, cela me donne des frissons. Flippant, mais terriblement réjouissant.
Bien entendu, cela m’a fait changer l’ensemble de mon organisation. Je commence à avoir une équipe, j’ai une entreprise qui est plus avancée avec un beau chiffre d’affaires aujourd’hui, ce qui me permet aussi de me faire aider! Je n’ai plus besoin d’être sur tous les fronts.
En réalité, c’est le fait d’avoir mis le vendredi entre parenthèses, qui m’a obligée à repenser mon organisation.
J’ai fait un grand ménage! Le tri, de ce qui n’était pas véritablement utile pour mon activité, de toutes ces tâches que je pouvais déléguer (que j’imaginais être la seule et unique à pouvoir faire)
Cela m’a obligé à créer … DU VIDE
C’est aussi ma récompense.
Si je me suis lancée en tant que qu’entrepreneur, ce n’est pas pour m’enfermer à nouveau dans le modèle de l’entreprise. Le boss du lundi au vendredi, les horaires fixes et ainsi de suite…
Je me suis offert cette liberté d’avoir un vendredi pour moi.
Alors oui, j’ai deux enfants, et non, ils ne sont pas là le vendredi avec moi. Cela aussi, c’est une permission que je vous donne si vous êtes maman, c’est de prendre du temps… pour vous!
Alors qu’est-ce que je fais de ces journées ?
Cela dépend. Il y en a que je planifie où je pourrais voir une expo, je vais beaucoup marcher, cela me fait du bien. Je vais bouquiner ou buller. Le vide je vous dis!.
Puis parfois aussi, évidemment, je vais m’autoriser à me former. Pour moi, c’est un plaisir. Et oui parfois même j’ai juste vraiment envie d’avancer sur un dossier qui me passionne et c’est OK!
Quoi qu’il en soit, je n’ai aucun rendez-vous pro de prévu, mon agenda est vide, mon équipe sait que je ne suis pas disponible.
Je fais ce qui me vient et ce qui me donne envie. Cela me ressource terriblement.
Je voulais juste vous donner cette petite impulsion. Il y a ceux d’entre vous qui se disent : « mais non, impossible, je ne peux pas ».
Je vous garantis que c’est possible.
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